Pourquoi Tissot ?

Parce que c’est la marque de la montre que je porte tous les jours depuis mon dernier anniversaire. Un véritable coup de cœur pour ce modèle !

Mon avis

Niveau montres, je ne suis pas très calé. Je sais juste que si je n’ai pas ma Rolex à 50 ans, j’ai loupé ma vie…

Blague à part, pour cette montre, c’était un vrai coup de cœur. Difficile de dire ce qui me plait particulièrement dans ce modèle mais c’est comme ça que cela se passe avec un coup de cœur, non ?

Une Tissot Le Locle automatique Edition 150^ème Anniversaire. D’ailleurs, Le Locle est une commune suisse inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO (urbanisme horloger). Elle existe avec le fond noir également que je trouve tout aussi joli.

Tissot Le Locle

Et puis, j’ai pu découvrir plus qu’une montre, j’ai découvert une marque : Tissot. Elle appartient au grand groupe horloger Swatch mais je la connaissais déjà à travers le sport (étonnant hein ?) : en tant qu’horloger, Tissot est présent dans de nombreuses compétitions sportives en tant que chronométreur officiel, rien de plus logique.

J’ai donc reçu ma montre en Novembre dernier (merci Papa, merci Maman) pour mon anniversaire dans un joli coffret.

L'avant du coffret contenant la montre

Outre la montre, ce coffret contient aussi 2 petits livrets : un catalogue de la marque avec ses ambassadeurs et les différents modèles de montres, et un petit roman qui retrace les 150 ans d’existence de Tissot. Je trouve le coffret très joli et le format du catalogue le rend plaisant à lire. C’est beaucoup mieux qu’un gros catalogue qu’on est obligé de commander directement chez le fabriquant. Un grand nombre de montres sont présentées (je ne sais pas si ce sont toutes les montres de Tissot mais il y en a déjà pas mal) et certaines sont mêmes « exposées » sur les ambassadeurs Tissot. Certaines pages rappellent aussi que Tissot s’investit dans le sport (motoGP, Hockey, Cyclisme, Course automobile, Basketball, …).

L'arrière du coffret avec les 2 livres

Bref, la qualité de ma montre ainsi que le soin apporté à ce qu’il y a autour m’assure du sérieux et de la qualité de Tissot.

Mon info en plus

Comme de nombreuses marques dans le monde, Tissot possède des ambassadeurs pour véhiculer l’image de la marque. On peut ainsi découvrir ses ambassadeurs dans le catalogue ainsi que sur le site de Tissot.

Les femmes d’abord :

Danica PATRICK – Pilote automobile américaine

Barbie XU – Actrice et Top model taiwanaise

Chez les hommes :

Michael OWEN – Footballeur anglais

Nicky HAYDEN – Pilote de moto américain

Steven STAMKOS – Joueur de hockey (NHL) canadien

Thomas LUTHI – Pilote de moto suisse (enfin un !)

Huang XIAOMING – Acteur et chanteur chinois

Tony PARKER – Basketteur (NBA) français

Pas d’ambassadeurs bling-bling, beaucoup de sportifs professionnels, ce qui montre que la marque aime le sport. Et c’est pour ça, entre autre, que j’aime Tissot !

Pour découvrir les dernières campagnes de publicité des ambassadeurs, direction la fan page de Tissot.

Et vous ? Vous avez une préférence pour votre marque de montre ou non ? Vous rêvez aussi d’avoir une Rolex avant 50 ans ? (attention ironie)

Verdict

Pourquoi Beezik ?

Parce que j’ai récemment entendu parler du site dans le dernier volet de l'émission Capital sur M6 et que je me suis enfin décidé à le tester aujourd’hui.

Mon avis

Il s’agit d’un site qui propose de télécharger de la musique en ligne, gratuitement et légalement ! Dans ce monde où le téléchargement illégal (même légal d’ailleurs) est pointé du doigt parce qu’il « tue l’industrie du disque », Beezik semble avoir trouvé un nouveau service intéressant. Comment ? Eh bien, c’est tout simple. Beaucoup de monde y a pensé (à offrir de la musique gratuitement aux gens) mais très peu ont trouvé un modèle économique satisfaisant (cf Deezer qui est obligé de proposer un abonnement payant pour pouvoir être rentable).

Il semblerait que Beezik ai trouvé le moyen de ne pas faire payer l’internaute : lors du téléchargement de la chanson, on est obligé de regarder une publicité (spot de 30 secondes généralement) : c’est grâce à cela qu’est payée la chanson, par l’annonceur qui propose la publicité. Ainsi, pas besoin de mettre la main au portefeuille si on ne le veut pas. Là où Beezik réussi à faire fort également, c’est qu’on est vraiment obligé de regarder la publicité : pas le temps de se faire un café en attendant que la pub passe pour récupérer son titre tranquillement après. A la fin de la pub, on a 6 secondes, pas une de plus, pour cliquer sur le lien de téléchargement sinon on est obligé de regarder à nouveau la publicité.

Ce principe risque de séduire un grand nombre d’annonceurs car cela restait le frein majeur de la publicité sur des services gratuits : il faut pouvoir être certain que la publicité soit vue et/ou entendue et surtout, qu’elle ne dérange pas l’internaute pendant son loisir (exemple : une pub pendant qu’on écoute l’album d’un artiste), ce qui agacerait plus qu’autre chose et aurait donc un effet inverse à celui recherché.

Petit point négatif cependant ; il concerne les publicités justement. Ce n’est pas le fait qu’elles existent qui me dérange, au contraire, j’aime bien regarder les publicités (quand elles sont intéressantes ou bien faites). Ce que je trouve dommage, mais qui est, je pense, temporaire, c’est qu’il n’y a pas de publicités de grandes marques (ou alors je n'ai pas de chance). Actuellement, les seules pubs que j’ai pu voir lors de mes téléchargements, ce sont celles pour des artistes d’Universal Music (si ça aide pour avoir accès au catalogue de chansons, pourquoi pas. Mais je ne suis pas fan du grand boss de l'entreprise) et celle pour la nouvelle application Beezik pour smartphone. Mais bon, j’ai bon espoir que nouvelles publicités vont arriver en même temps que de nouveaux artistes. Parce que pour ça aussi, c’est déjà un catalogue intéressant qui est disponible mais ce n’est pas non plus exceptionnel. De toute façon, les maisons de disques vont devoir proposer leurs catalogues à ce genre de sites parce qu'il y a des gens qui ne déverseront pas un cent pour écouter ou acquérir de la musique. Et pour faire découvrir ses artistes à ces personnes, les maisons de disques sont bien obligées de "coopérer". 

Vidéo de l'application Beezik

Mon info en plus

Pour l’info en plus, je vais plutôt donner mon point de vue sur des services qui pourraient être intéressants d’avoir via Beezik (à moyen ou long terme, réalistes ou non) :

- Téléchargement de films sur le même principe voire avec une publicité au début du film (comme au cinéma) puisque je pense que les films coutent plus chers à l’achat que les musiques.

- Pouvoir avoir des publicités en avant-première sur Beezik ou réalisées avec l’artiste qu’on télécharge.

- Avoir un lien sur le site internet de la marque ou du produit dont on a vu la publicité.

- Une option pour voir le clip de la chanson qu’on télécharge.

- Pouvoir faire une liste de 4 ou 5 chansons à télécharger (ou un album) en même temps, en échange de la vision d’un spot de pub un peu plus long.

- Permette aux annonceurs de choisir quel artiste/chanson ils souhaitent "parrainer". On pourrait ainsi voir quelles marques soutiennent aussi les petits artistes inconnus (bien qu'être présent sur les plus connus semble plus logique pour augmenter le nombre de vues).

Et vous ? Comment vous consommez la musique ? Téléchargement ou streaming ?

Verdict

Pourquoi Société Générale ?

Parce que j’ai reçu les informations de mes comptes bancaires, de la Société Générale.

Mon avis

Bon, difficile de parler en positif à 100% des banques quand on connait la réputation de ces dernières. Et cette réputation est justifiée, surtout quand on regarde de près ce qui se passe dans la relation client/banque (frais à tout va, refus de facilités, ...).

Mais, au niveau de la Société Générale, je n’ai pas eu trop de problèmes, pour le moment. C’est sûr que mes besoins et mes attentes ne concernent pas de dossiers sensibles comme des autorisations de découvert, des demandes de prêts, … . Personnellement, ce dont j’ai besoin, c’est d’avoir accès à mon compte depuis Internet et de pouvoir faire quasiment tout ce que je veux (virements automatiques, unitaires, externes et internes, souscrire une offre, modifier des paramètres sur mes contrats, etc…). A l’époque où je faisais le tour des banques, j’ai pu tomber sur une banque qui me proposait les services en ligne, mais payants…

Bref, ça n'a pas duré longtemps et j’ai donc choisi la Société Générale parce que le contact avec ma conseillère de l’époque était bien passé de suite. Alors bien sûr, depuis, j’ai une autre conseillère, avec qui ça se passe bien également. Mais je sais aussi qu’elle va bientôt changer : en effet, lors du premier changement, on m’avait expliqué que le turn over des conseillers se faisait tous les deux ans en moyenne. Je trouve cela dommage de devoir changer de conseiller tous les deux ans (je sais pas si c’est pour tous les conseillers pareil, un changement aussi rapide), ça ne permet pas de mettre en place une relation de confiance et surtout, chose que je trouve importante pour un conseiller bancaire, d’être une pièce importante des projets de ses clients.

Par exemple, j’ai encore des projets de création d’entreprise. J’aimerais bien savoir que mon conseiller bancaire est présent pour moi, pour me conseiller et pour m’aider à bien monter mon projet (et ce projet peut être de n’importe quelle nature : prêt immobilier, à la consommation, création d’entreprise, livret, compte épargne, etc…). Sinon, autant faire le tour des banques pour chaque projet et prendre en compte uniquement l’aspect financier : on signera là où on aura les meilleures conditions. Ce n’est pas comme ça que je vois la relation avec ma banque et si ça doit évoluer dans ce sens, je n’hésiterais pas à changer. Les banques, ce n’est pas ce qui manque, il doit bien en avoir une qui me correspond.

Mais je m’égare un peu… Je parle de changement alors que j’ai dit que j’étais, pour l’instant satisfait. Autre point de satisfaction, l’investissement sportif de la Société Générale, dans le rugby notamment (et oui, encore du sport, va falloir vous y faire). Partenaire de longue date de la Fédération Française de Rugby, la Société Générale a réellement mis en place une communication à travers ce sport. Dernièrement, on a pu voir la mise en place d’un jeu concours sur Facebook pour le Tournoi des Six Nations : il faut élire le meilleur joueur de chaque match du XV de France et un tirage au sort récompense les gagnants. Bon, ce n’est qu’une opération parmi tant d’autres mais elle a le mérite de prendre en compte l’actualité de l’équipe de France et d’utiliser les nouveaux moyens de communication qui sont mis à disposition des marques, les réseaux sociaux.

Vous l’aurez donc compris, je suis plutôt satisfait de la Société Générale malgré la mauvaise image qu’elle peut avoir suite aux différents problèmes qu’elle a pu rencontrer. Ces affaires touchent « la partie haute » de la banque, là où derrière chaque chiffre, il a 5 ou 6 zéros en plus. Un autre monde, car gérer les sommes astronomiques dont on entend parler, c’est un métier, des responsabilités et un monde à part. Un monde qui ne m’attire pas pour le moment, donc je laisse les plus avertis débattre sur le sujet.

Mon info en plus

*Gling gling gling* 

La Société Générale a récemment publié ces chiffres pour 2010. Tenez vous bien, il y a plein de zéros partout :D

Un chiffre d’affaires (ou produit net bancaire, utilisé pour une banque) qui s’élève à 26,4 milliards d’euros (+20,1% par rapport à 2009) et un bénéfice qui frôle les 4 milliards d’euros (3,92 milliards, chiffre multiplié par six par rapport à 2009). Ce n’est pas la crise pour tout le monde on dirait !

D’ailleurs, la banque ne s’arrête pas là et affiche clairement ses objectifs pour 2012 : 6 milliards d’euros de bénéfices ! Rien que ça. Enfin, c’est toujours bien de faire des bénéfices pour une entreprise : ça récompense les actionnaires qui ont investi, ça permet de développer de nouveaux projets et donc de développer l’emploi, etc…

Le dividende 2010 est de 1,75€ par action alors qu’en 2009, il était seulement de 0,25€. C’était donc une action à avoir dans son portefeuille cette année.

Gagner de l’argent est un signe positif mais en France, j’ai plus l’impression que gagner de l’argent, et surtout en gagner beaucoup, c’est mal vu… Mais c’est un autre débat ;)

Et vous? Quelle banque avez-vous choisi? En êtes-vous satisfait?

Verdict

Pourquoi Groupon ?

Parce que Groupon organise un concours pour les blogs qui feront un article sur leur jeu et parce que c’est une marque avec laquelle je suis en contact tous les jours, le plus souvent par mail.

Mon avis

Génialissime ! Tout simplement. Les chiffres parlent pour l’entreprise d’ailleurs.

Le concept d’achats groupés adapté à la société actuelle et aux nouvelles techniques de communication et de mise en relation : du pur génie j’ai envie de dire. Du moins pour le consommateur et pour Groupon...

L’idée

Le concept est simple : proposer des réductions dans de nombreuses boutiques, commerces, restaurants, etc… Et on ne parle pas ici de 10 ou 20% mais on très souvent à 50% de réduction minimum. Ainsi, on peut se retrouver avec des réductions importantes pour utiliser des produits qu’on ne connait pas forcément. Les achats groupés ne sont pas nouveaux mais sur ce marché, les achats pour particuliers, je pense que c’est novateur. On connait les centrales d’achat pour les entreprises pour tout ce qui est fournitures notamment mais sur de la consommation au quotidien, c’est déjà plus rare. Et c’est là que Groupon intervient.

Bien entendu, certains produits ou lieux ne sont pas proposés et la plupart des coupons proviennent de : produits de luxe (forte marge), jeunes entreprises (besoin de pub) et les restaurants.

Le modèle

Dès que j’en ai entendu parler dans ma ville, je me suis directement demandé comment ce genre de deal était rentable. J’ai aujourd’hui ma réponse grâce à l’utilisation de mon dernier deal où la patronne m’a clairement expliqué comment était montée l’affaire : Groupon propose au commerçant de faire une réduction de minimum 50% pour ses « clients ». Sur les 50% restants, la moitié va à Groupon et le reste (25% du prix initial donc si la réduction est de 50%) reste au commerçant.

En tant qu’entrepreneur, c’est vrai que le deal est intéressant mais il faut bien réfléchir avant d’accepter je pense. D’autant plus que Groupon encaisse l’argent des gens qui achètent le deal et si ces personnes n’utilisent pas leur coupon dans le temps imparti, l’argent du coupon reste intégralement à Groupon. C’est donc extrêmement rentable pour Groupon ! Et je ne peux que saluer l’initiative du projet.

J’avais pu remarquer que, le soir d’utilisation de mon deal (qui avait une « date de consommation » d’un an et qui se termine le 11 Février prochain), quasiment la moitié des personnes ayant acheté un bon ne l’avaient pas utilisé ! L’offre était la suivante : pour 10€ au lieu de 30, on avait droit à 2 sessions de karting. Sur les 10€ récupérés par Groupon, le commerçant touchait 4€ (40% donc, surement un bon commercial de Groupon qui a négocié la chose) si et seulement si les personnes utilisaient le bon. Dans le cas contraire, Groupon garde la monnaie.

Au final, c’est une opération qui rapporte 2€ par session de karting si le bon est utilisé pour une valeur initiale de 15€… J’ai connu mieux comme opération de promotion rentable. Mais il est impossible de parler d’arnaque ici. Le système est tellement bien monté qu’on a du mal à dire non : Groupon possède une base de clients potentiels impressionnante. Ainsi, en mettant en avant le fait que potentiellement, 500 ou 1000 personnes peuvent venir consommer chez le commerçant, c’est difficile de ne pas se lancer. Même si au final il n’y a que 100 personnes, cela permet de faire de la publicité gratuitement. Le tout est de bien gérer la fidélisation client après l’utilisation du bon. D’ailleurs, le simple fait d’être présent sur le site est un premier pas dans la mise en avant de son activité. Même si les gens n’achètent pas, ils regardent quotidiennement le deal proposé dans la ville où ils se trouvent.

En conclusion, du côté consommateur, pas d’inconvénients. C’est « 100% bénef », une affaire en or ou alors un petit plaisir qu’on n’a pas payé plein pot. De plus, ça permet de découvrir différents endroits de sa ville qu’on ne fréquente pas forcément.

Côté commerçant, c’est plus mitigé. Je pense que l’offre de Groupon est à prendre comme de la publicité plutôt que comme une opération commerciale. La publicité, comme on le sait, est rarement très rentable, c’est d’autant plus le cas ici. Avec un prix de vente réduit de 75% à 95%, difficile d’en sortir bénéficiaire directement. Cependant, pour l’image et la notoriété, c’est un très très bon plan. Là où on va dépenser des centaines ou des milliers d’euros dans un média ou un support de communication touchant la masse, l’offre Groupon permet de toucher directement une cible intéressée, sans rien dépenser. On fait juste une mauvaise affaire comptable sur le coup mais si le service et/ou les produits sont de qualité et qu’ils ont séduit le client, nul doute qu’une bonne partie du chemin est faite dans la perspective de revoir ce client. Et puis, quand on peut potentiellement voir débarquer des centaines de clients dans son commerce, on serait bête de s’en priver.

Côté Groupon, c’est aussi le jackpot ! Un rapide calcul sur l’offre de karting que j’ai utilisé le prouve : 

Mon deal Karting

Sur le site, il est indiqué que 661 personnes ont acheté ce bon. Or, j’ai pu voir sur la liste de la patronne que seulement la moitié des bons étaient utilisés à une semaine du terme (environ). Ce qui nous fait à peu près 330 coupons utilisés.

330 coupons sur lesquels 4€ sont reversés au commerçant, ce qui fait 1 980€ qui reviennent à Groupon. A cela s’ajoute les 330 coupons payés mais non utilisés : +3 300€ pour Groupon. Ce qui nous fait 5 280€ au total sur ce deal pour Groupon ! Et il faut tout simplement se dire que Groupon propose en moyenne 2 deals par jour et par ville (30 en France pour le moment)… Je vous laisse faire les calculs.

L’entreprise a été créée en 2008 et compte en 2010 plus de 3 000 salariés avec un CA estimé pour 2010 de 500 millions de $. Groupon a de fortes chances de devenir l’entreprise qui aura atteint le milliard de CA le plus rapidement. Une offre de rachat de Google a été refusée en Décembre dernier pour un montant de 5,3 milliards de $. Groupon avait acheté d’autres sites d’achats groupés en 2010 pour devenir un groupe international et présent sur de nombreux continents. D'ailleurs, j’avais connu CityDeal (toujours présent dans le logo Groupon en France) dans un premier temps avant qu’ils ne fusionnent avec Groupon. L’entreprise a d’ailleurs franchi un cap de plus le week end dernier en faisant de la pub lors du plus grand événement publicitaire mondial : le Superbowl. Vous pouvez trouver les publicités Groupon sur ce blog (que je recommande d’ailleurs pour les fans de pubs) : BlogoPub.

Mon info en plus

Groupon lance un jeu concours comme je l’annonçais en début d’article. Ce concours est réalisé pour fêter la première année d’existence de Groupon en France. A gagner : 1 an de deals ! (soit environ 720€ de bons d'achat sur le site). Deux versions sont proposées : la participation simple avec inscription via un formulaire et la participation spéciale blogueurs où il faut réaliser un article sur Groupon et le mailer directement à Groupon pour être inscrit (le lien du concours est disponible ici : Jeu Concours).

Là encore, je ne peux que saluer l’initiative et le coup de pub exceptionnel que réalise le site en se faisant promouvoir par ses clients dans un milieu où l’entreprise se doit d’être présente : le web et les réseaux sociaux. La stratégie est quasiment sans risques puisqu’il est rare que certaines personnes soient déçues de leur deal. Et si c’est le cas, c’est plus souvent la faute du commerçant que de Groupon directement. On pourrait juste reprocher à Groupon de ne pas tester chaque deal qu’il propose (mais peut-être qu’ils le font mais j’ai des doutes).

Quoi qu’il en soit, ce jeu concours va encore plus renforcer la communauté Groupon présente sur le web et le sentiment d’être client d’une entreprise qui prône l’entraide. Car c’est également cela que les réseaux sociaux ont permis de développer : des services d’entraide communautaire où chacun se refile les bons plans du moment. Là, c’est Groupon qui diffuse et nous avons juste à tendre la main pour profiter du bon plan.

Si vous n’êtes pas inscris et intéressés par un deal, vous pouvez me le faire savoir. Je peux vous parrainer en vous envoyant un lien de parrainage sur le deal que vous souhaitez. Ça me fera gagner 6€ en bon d’achat sur le site : www.groupon.fr

Verdict

Sources : Wikipédia, Groupon, Blogopub

 

Pourquoi L’Oréal ?

Parce que j’utilise un des produits L’Oréal tous les matins quand je prends ma douche : un shampooing (Elsève pour être précis). Quand on connait tout le tapage médiatique auprès de la « grand patronne » du groupe, j’ai préféré faire un focus sur L’Oréal plutôt que sur Elsève.

L’histoire de L’Oréal

30 Juillet 1909 : Eugène Schueller créée la « Société Française des Teintures Inoffensives pour Cheveux », qui deviendra plus tard L’Oréal

Eugène Schueller

1928 : 8 ans après sa création, la « Société des Savons Français » est rachetée par Eugène Schueller, qui y installe le siège de L’Oréal (rue Martre à Clichy)

L'entreprise Monsavon

Toujours cette année, lancement du produit O’Cap, une lotion moussante capillaire, qui fait office de shampooing

1931 : premier événement publicitaire pour L’Oréal : une bâche qui recouvre entièrement une façade d’immeuble parisien et qui fait la promotion de la lotion O’Cap. La révolution publicitaire continue avec le premier communiqué publicitaire chanté qui fait son apparition à la radio (alors que la « coutume » consiste à lire simplement les messages de pub)

La grande publicité pour O'Cap

1933 : Premier magazine mensuel féminin dédié à la beauté et à la santé : Votre Beauté. Lancement également de Dopal, le premier shampooing sans savon (donc plus doux) réservé aux professionnels et également ancêtre de Dop

1934 : arrivée de Dop dans la distribution pour le grand public

1938 : mise en place du « salaire proportionnel » : un salaire indexé sur l’évolution du chiffre d’affaires

04 Avril 1939 : la « Société des Teintures Inoffensives pour Cheveux » prend définitivement le nom de L’Oréal et s’installe au 14, rue Royale, à Paris

1951 : lancement des Berlingots Dop : des petites dosettes de shampooing. Succès fulgurant

1957 : François Dalle devient PDG de L’Oréal

1960 : lancement de la laque Elnett pour le grand public : nouvelle révolution

1963 : introduction de L’Oréal en Bourse. Depuis 1967, la capitalisation du groupe a été multipliée par 490. En 1963 toujours, lancement des premiers bains moussants Obao

1964 : acquisition de Lancôme

Lancôme

1965 : acquisition des laboratoires Garnier

1970 : acquisition de Biotherm

1973 : acquisition de Gemey, marque de maquillage spécialisée dans les fonds de teints et les poudres

1984 : Charles Zviak nommé PDG du groupe

1985 : L’Oréal acquiert la licence Ralph Lauren et poursuit la saga des parfums Polo pour homme. Toujours cette année (décidément, 1985… :p), la 1^ère ligne de soins homme est lancée !

Biotherm pour Hommes

1986 : Niosôme de Lancôme, la 1^ère crème anti-âge est lancée

1988 : Lindsay Owen-Jones devient PDG à 42 ans seulement

1993 : L’Oréal Brandstorm est lancé : ce concours, toujours existant, permet à plus de 32 000 étudiants de faire valoir leurs talents dans différents domaines du marketing (communication, packaging, benchmark, etc…)

L'Oréal Brandstorm

1996 : acquisition de Maybelline, leader du maquillage populaire aux Etats-Unis. Toujours cette année, la « tornade verte » Fructis (shampooing de Garnier) fait un véritable carnage dans la grande distribution

1998 : lancement du programme international « L’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science » qui vise à récompenser et soutenir des femmes scientifiques

Février 2000 : la première charte éthique de L’Oréal est publiée : elle regroupe les valeurs et principes d’action du groupe et est enrichie par les contributions des collaborateurs de l’entreprise

2001 : e-strat challenge : le premier « business game » en ligne de L’Oréal. Via un site internet, les étudiants des business schools du monde entier entrent dans la peau d’un manager d’une entreprise de cosmétique virtuelle

2006 : la Division des Produits de Luxe signe un contrat de licence avec Diesel pour une ligne de parfums. Nouveau PDG : Jean-Paul Agon

2007 : création de la Fondation L’Oréal qui a trois missions : encourager l’éducation, promouvoir la recherche scientifique et aider les personnes fragilisées.

Mon avis

Fructis de Garnier

Concernant le shampooing que j’utilise, un Fructis de Garnier, je ne peux qu’avoir un avis positif. J’ai l’impression que l’expression « l’essayer c’est l’adopter » convient parfaitement. En effet, après seulement la première utilisation, j’ai pu ressentir un changement par rapport à mes autres shampooings habituels. Donc au niveau de la qualité du produit, pas de reproches possibles, c’est clair.

Pour parler un peu plus de l’entreprise L’Oréal, gros groupe français on le sait, j’aime particulièrement l’innovation au niveau du recrutement. Toutes ces nouvelles façons d’attirer les meilleurs talents dans l’entreprise. En particulier le fameux jeu en ligne qui permet de simuler un poste de manager dans une entreprise de cosmétique.

Puis, toutes les actions qui visent à « améliorer » l’image (bien que je ne vois pas en quoi l’image pourrait être mauvaise) notamment grâce au mécénat et au soutien de nombreuses causes, reçoivent toujours un écho favorable de mon côté. Déformation professionnel ? Peut-être, mais il y a certains petits principes qui font la différence : entre un grand groupe qui soutient certaines causes et un autre qui ne fait rien, la balance pence de plus en plus facilement vers celui qui montre qu’il essaye de faire bouger les choses. On aime ou on n’aime pas mais on ne pas retirer le fait que l’effort est fait.

Mon info en plus : Reveal, the game

« Ah la la ! Si j’avais pu avoir des jeux comme ça lorsque je cherchais un stage ! J’aurais jamais autant aimé travailler.» C’est peut-être ce que je dirais dans 10 ou 20 ans à une jeune personne en recherche de stage. Peut-être que d’ici là également, les « serious games » seront monnaie courante dans le recrutement des grandes entreprises mondiales.

Concernant celui de L’Oréal, ne l’ayant pas testé, je préfère vous renvoyer vers un article très complet issu du site CadresOnline. 

Les jeux font leur apparition dans le monde du travail (voir aussi la campagne de recrutement de l’Agence de pub H). Doit-on y voir déjà un message que lancent les entreprises à leurs futurs collaborateurs ? « Venez travailler vous amuser chez nous ! » Pour l’instant, la plupart des actions visent des stages. Mais peut-être qu’un jour, on aura de vrais postes à la clé !

Et vous ? Que pensez-vous de ce mode de recrutement ? Auriez-vous aimé au moins tester un des jeux ?

Sources : L'Oréal